Chauvin supervise lors du match de Coupe de France entre Quevilly et TA Rennes (défaite des Bretons lors de la séance des tirs aux buts)
Mais qui peut bien attirer l'attention du coach ?
On sait que c'est un joueur de Quevilly (National) mais l'entraineur a souhaité taire le nom (et on peut le comprendre)
On peut juste se dire qu'il fait partie de cette liste :
El-Kharroubi, Damade -
Vardin, Beaugrard, Weis, Vanoukia, Mallein, Giboyau
Diarra, Jouan, Capelle, Laup, Corbard, Herouat, Fédèle, Dia
Ouahbi, Colinet
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• Effectif pro 2024/2025 |
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Revue de presse
Re: Revue de presse
de COCOach » 07 Jan 2012, 02:02
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Re: Revue de presse
de zaka » 07 Jan 2012, 09:03
si c'est kévin giboyau je prend tout de suite
j ai l 'occasion de suivre quevilly et de voir certain joueur et Kévin Giboyau est très fort techniquement et je pense qu'il peut allez loin pourquoi pas chez nous seul landry le sais
j ai l 'occasion de suivre quevilly et de voir certain joueur et Kévin Giboyau est très fort techniquement et je pense qu'il peut allez loin pourquoi pas chez nous seul landry le sais
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Re: Revue de presse
de COCOach » 09 Jan 2012, 13:28
A la rencontre de jeunes Canaris qui pourraient taper à la porte des pros très bientôt
CES TROIS GARÇONS PLEINS D’AVENIR
Et si la formation nantaise n’avait pas tant jauni que cela ? Dix-neuvième au classement des centres de formation en 2009-2010, le FC Nantes a fait un bond phénoménal à l’orée de cette saison en se classant au sixième rang. L’émergence de jeunes (Trebel et Veretout) issus du centre de formation n’est bien sûr pas étrangère à cette en- volée. « Certains disent qu’on s’en fout mais ça a toujours été notre politique, estime Franck Kita, le fils du président. Le nombre de jeunes dans l’équipe actuelle l’atteste (Zelazny, Veretout, Lee, Sasso, Trebel...). »
Formation : 25 % du budget total
Et lorsqu’on suggère que le président Kita a peut-être pris conscience de l’importance de la formation au fil des années, le fils répond : « Non, vraiment, cela a toujours été clairement notre politique! On a fait des conneries mais on a toujours mis de l’argent dans le centre. »
Cette saison, le budget du centre frise les 5 millions, ce qui est dans la fourchette haute en Ligue 2.
Une formation est à surveiller : celle des U 19 ans, « une bonne génération », selon son coach, Philippe Mao. Dimanche, à14h30, à la Beaujoire, en 64e de finale de la Gambardella, cette équipe accueille Angers.
Le coach a sélectionné pour nous trois joueurs: « Trois garçons plus près que les autres du groupe pro ! »
Le premier est stagiaire pro, les deux autres vont basculer lundi dans le groupe espoir d’Amisse.
Solide mais trop introverti
MAXIME DUPÉ
Gardien de but.
Tous les habitués de la Jonelière ont sans doute déjà aperçu sa bouille de minot. Maxime Dupé (19 ans) s’entraîne cette saison à temps plein avec le groupe pro.
Originaire du Morbihan et arrivé à Nantes en 2008 en provenance du centre régional technique de Ploufragan, le portier joue en équipe de France des 19 ans. « Il prend de la place dans le but, estime Mao. Il se couche très vite. Il est athlétique (1,86 m) et solide. Il doit maintenant travailler sur son caractère. Il est un peu timide, introverti. »
Mathieu Bideau, responsable du recrutement jeunes, abonde dans ce sens : « C’est un super mec mais il faut qu’il se lâche. » Dupé a le statut de stagiaire professionnel. « Pour lui, l’objectif est de finaliser un contrat professionnel la saison prochaine », estime son entraîneur Philippe Mao.
Un profil à la Patrick Vieira
ABDOULAYE TOURÉ
Milieu défensif.
C’est le Nantais (18 ans) pur beurre. Et un Canari pur produit. Lui aussi est international. « Ce n’est pas un titulaire avec les Bleus, précise Mao. C’est un profil à la Vieira. Il peut jouer en position de sentinelle devant la défense. Il est grand (1,87 m), très athlétique. » À la Jonelière, ses coéquipiers l’appellent Yaya Touré. Celui qui habite Malakoff a choisi comme modèle l’ex-produit nantais : Emerse Faé, originaire du même quartier. « Il doit augmenter son volume de course pour pouvoir répéter les efforts plus facilement, estime toutefois son coach.
Il lui manque encore quelque chose pour être un titulaire à part entière en équipe de France. Il manque parfois d’explosivité. Mais, alors, c’est un vrai compétiteur ! Il est discret et super bien dans sa tête. » Touré est aspirant pro.
La pépite de Kinshasa
ARISTOTE NDONGALA
Milieu offensif.
Les observateurs du dernier tournoi de Montaigu n’ont pas pu le louper. Il a fini meilleur joueur et buteur. Le natif de Kinshasa (République du Congo) de 18 ans est arrivé cet été à Nantes. Il jouait à Créteil la saison dernière. « On allait voir un autre joueur à Créteil, reconnaît Bideau. Et là, on a vu Aristote. En une mi-temps, on a pris notre décision. Lui, c’est un coup de chance ! Il ne fait pas de bruit sauf sur le terrain. »
Ses qualités ? Mao ne se force pas quand il doit les numérer. « Il est solide dans le jeu de corps. Il élimine facilement et joue très juste. C’est un joueur de foot ! Très polyvalent en attaque.
C’est mon buteur et mon passeur décisif. » Et humainement, les louanges pleuvent : « C’est une personnalité exceptionnelle. Un bon mec, très correct dans la vie.»
CES TROIS GARÇONS PLEINS D’AVENIR
Et si la formation nantaise n’avait pas tant jauni que cela ? Dix-neuvième au classement des centres de formation en 2009-2010, le FC Nantes a fait un bond phénoménal à l’orée de cette saison en se classant au sixième rang. L’émergence de jeunes (Trebel et Veretout) issus du centre de formation n’est bien sûr pas étrangère à cette en- volée. « Certains disent qu’on s’en fout mais ça a toujours été notre politique, estime Franck Kita, le fils du président. Le nombre de jeunes dans l’équipe actuelle l’atteste (Zelazny, Veretout, Lee, Sasso, Trebel...). »
Formation : 25 % du budget total
Et lorsqu’on suggère que le président Kita a peut-être pris conscience de l’importance de la formation au fil des années, le fils répond : « Non, vraiment, cela a toujours été clairement notre politique! On a fait des conneries mais on a toujours mis de l’argent dans le centre. »
Cette saison, le budget du centre frise les 5 millions, ce qui est dans la fourchette haute en Ligue 2.
Une formation est à surveiller : celle des U 19 ans, « une bonne génération », selon son coach, Philippe Mao. Dimanche, à14h30, à la Beaujoire, en 64e de finale de la Gambardella, cette équipe accueille Angers.
Le coach a sélectionné pour nous trois joueurs: « Trois garçons plus près que les autres du groupe pro ! »
Le premier est stagiaire pro, les deux autres vont basculer lundi dans le groupe espoir d’Amisse.
Solide mais trop introverti
MAXIME DUPÉ
Gardien de but.
Tous les habitués de la Jonelière ont sans doute déjà aperçu sa bouille de minot. Maxime Dupé (19 ans) s’entraîne cette saison à temps plein avec le groupe pro.
Originaire du Morbihan et arrivé à Nantes en 2008 en provenance du centre régional technique de Ploufragan, le portier joue en équipe de France des 19 ans. « Il prend de la place dans le but, estime Mao. Il se couche très vite. Il est athlétique (1,86 m) et solide. Il doit maintenant travailler sur son caractère. Il est un peu timide, introverti. »
Mathieu Bideau, responsable du recrutement jeunes, abonde dans ce sens : « C’est un super mec mais il faut qu’il se lâche. » Dupé a le statut de stagiaire professionnel. « Pour lui, l’objectif est de finaliser un contrat professionnel la saison prochaine », estime son entraîneur Philippe Mao.
Un profil à la Patrick Vieira
ABDOULAYE TOURÉ
Milieu défensif.
C’est le Nantais (18 ans) pur beurre. Et un Canari pur produit. Lui aussi est international. « Ce n’est pas un titulaire avec les Bleus, précise Mao. C’est un profil à la Vieira. Il peut jouer en position de sentinelle devant la défense. Il est grand (1,87 m), très athlétique. » À la Jonelière, ses coéquipiers l’appellent Yaya Touré. Celui qui habite Malakoff a choisi comme modèle l’ex-produit nantais : Emerse Faé, originaire du même quartier. « Il doit augmenter son volume de course pour pouvoir répéter les efforts plus facilement, estime toutefois son coach.
Il lui manque encore quelque chose pour être un titulaire à part entière en équipe de France. Il manque parfois d’explosivité. Mais, alors, c’est un vrai compétiteur ! Il est discret et super bien dans sa tête. » Touré est aspirant pro.
La pépite de Kinshasa
ARISTOTE NDONGALA
Milieu offensif.
Les observateurs du dernier tournoi de Montaigu n’ont pas pu le louper. Il a fini meilleur joueur et buteur. Le natif de Kinshasa (République du Congo) de 18 ans est arrivé cet été à Nantes. Il jouait à Créteil la saison dernière. « On allait voir un autre joueur à Créteil, reconnaît Bideau. Et là, on a vu Aristote. En une mi-temps, on a pris notre décision. Lui, c’est un coup de chance ! Il ne fait pas de bruit sauf sur le terrain. »
Ses qualités ? Mao ne se force pas quand il doit les numérer. « Il est solide dans le jeu de corps. Il élimine facilement et joue très juste. C’est un joueur de foot ! Très polyvalent en attaque.
C’est mon buteur et mon passeur décisif. » Et humainement, les louanges pleuvent : « C’est une personnalité exceptionnelle. Un bon mec, très correct dans la vie.»
20 Minutes - David Phelippeau
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Re: Revue de presse
de Bettamale44 » 11 Jan 2012, 11:46
FC Nantes : Raspentino ne veut pas « prolonger à contrecœur »
Au FC Nantes, les tractations pour la prolongation de contrat de Florian Raspentino (22 ans) sont au point mort.
Meilleur buteur du FC Nantes toutes compétitions confondues (7 réalisations), Florian Raspentino, qui évoluait en CFA il y a 6 mois, aurait éveillé l’appétit de plusieurs formations. La direction du FC Nantes assure que les parties ont globalement trouvé un terrain d’entente, la seule divergence concernant le montant de la clause libératoire.
Son agent : « Florian n’est plus le même joueur qu’à son arrivée »
« Les deux parties ont raison, commente le représentant du joueur. Mais ce qui était vrai au mois de décembre ne l’est plus en janvier. Comme tout joueur en fin de contrat, sa situation est évolutive. Le FC Nantes l’a lancé, mais Florian n’est plus le même joueur qu’à son arrivée. L’idéal serait qu’il prolonge à Nantes mais l’intérêt d’autres formations change la donne. Il peut signer un document ailleurs en toute légalité. »
Jeu d’agent pour faire monter les enchères ou réel intérêt pour un élément prometteur ? Pas si simple à en croire le joueur. « Je veux rester ici car j’ai encore beaucoup à apprendre. Le coach m’a lancé et je ne l’oublierai pas. Mais j’ai envie de signer avec le sourire et pas de prolonger à contrecœur. Pour l’instant, ça traîne car la proposition du FC Nantes ne me convient pas. »
Landry Chauvin : « Je m’appuierai sur des gens concernés »
Landry Chauvin, qui pourrait se passer des services du Sudiste au coup d’envoi vendredi soir, sent son attaquant perturbé. « Je souhaite que ce soit réglé le plus tôt possible. Ce serait décevant qu’un garçon lancé par le FCN en Ligue 2 s’en aille. Il doit y avoir une forme de reconnaissance. Je m’appuierai sur des gens concernés. Je suis entraîneur et prépare l’avenir. Notre meilleur recrutement serait de conserver ce genre de joueur, comme les Trebel, Veretout et Ngoyi. »
Ouest-France
Au FC Nantes, les tractations pour la prolongation de contrat de Florian Raspentino (22 ans) sont au point mort.
Meilleur buteur du FC Nantes toutes compétitions confondues (7 réalisations), Florian Raspentino, qui évoluait en CFA il y a 6 mois, aurait éveillé l’appétit de plusieurs formations. La direction du FC Nantes assure que les parties ont globalement trouvé un terrain d’entente, la seule divergence concernant le montant de la clause libératoire.
Son agent : « Florian n’est plus le même joueur qu’à son arrivée »
« Les deux parties ont raison, commente le représentant du joueur. Mais ce qui était vrai au mois de décembre ne l’est plus en janvier. Comme tout joueur en fin de contrat, sa situation est évolutive. Le FC Nantes l’a lancé, mais Florian n’est plus le même joueur qu’à son arrivée. L’idéal serait qu’il prolonge à Nantes mais l’intérêt d’autres formations change la donne. Il peut signer un document ailleurs en toute légalité. »
Jeu d’agent pour faire monter les enchères ou réel intérêt pour un élément prometteur ? Pas si simple à en croire le joueur. « Je veux rester ici car j’ai encore beaucoup à apprendre. Le coach m’a lancé et je ne l’oublierai pas. Mais j’ai envie de signer avec le sourire et pas de prolonger à contrecœur. Pour l’instant, ça traîne car la proposition du FC Nantes ne me convient pas. »
Landry Chauvin : « Je m’appuierai sur des gens concernés »
Landry Chauvin, qui pourrait se passer des services du Sudiste au coup d’envoi vendredi soir, sent son attaquant perturbé. « Je souhaite que ce soit réglé le plus tôt possible. Ce serait décevant qu’un garçon lancé par le FCN en Ligue 2 s’en aille. Il doit y avoir une forme de reconnaissance. Je m’appuierai sur des gens concernés. Je suis entraîneur et prépare l’avenir. Notre meilleur recrutement serait de conserver ce genre de joueur, comme les Trebel, Veretout et Ngoyi. »
Ouest-France
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Re: Revue de presse
de COCOach » 11 Jan 2012, 18:13
Une bonne chose malgré tout, il est dans le groupe pour Angers.
Maintenant, si Chauvin est logique, il démarrera sur le banc !
Maintenant, si Chauvin est logique, il démarrera sur le banc !
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Re: Revue de presse
de COCOach » 21 Jan 2012, 00:32
Ça chauffe entre Chauvin et Fénillat.
Faut dire que l'entraineur du FC Nantes n'est pas allé du dos de la cuillère en parlant du centre de formation Nantais.
En même temps, en réfléchissant bien, il n'a pas tord.
Morceaux choisis (mais je vous invite à lire tout l'article)
« Un jour, le président Kita m'a appelé pour connaître mon point de vue sur la formation ..... ma réponse s'est avérée très simple.
Un centre de formation est jugé sur le nombre de joueurs titulaires en équipe première.
À Nantes, ils s'appellent Trebel et Veretout.
Et aujourd'hui, les trois seuls centres performants dans l'hexagone sont Rennes, Sochaux et Toulouse. Point barre.
Le fait que l'on soit second en U 19, c'est bien mais pas suffisant si si peu de joueurs deviennent pros. »
« Déjà, sans de bons joueurs au départ, tu peux travailler des heures, tu as peu de chance d'en sortir.
Aujourd'hui, il faut faire attention au nombre.
Et si le budget est vraiment de 5 M €, le résultat est insuffisant.
Soixante jeunes, c'est beaucoup trop. Ce n'est pas le chiffre qui me dérange mais d'où ils viennent.
Si tu en as trente de la région nantaise, qui soient justes demi-pensionnaires, je trouve cela très bien.
Il ne faut pas recruter pour recruter ou pour que son équipe soit compétitive...
De même, il ne faut pas hésiter à pratiquer le décloisonnement lors des séances d'entraînement et à faire jouer les meilleurs à l'étage supérieur. »
« La sixième ville française doit s'appuyer sur une préformation locale.
Le top serait que ton effectif pro soit composé d'un tiers de jeunes du centre - c'est loin d'être le cas - d'un tiers de jeunes issu du recrutement post-formation et d'un tiers de joueurs qui connaissent la L2. Tu n'y es pas !
Je l'ai dit au président, je suis prêt à avoir deux joueurs en moins dans l'effectif pour que l'on améliore premièrement, l'organisation du recrutement du centre de formation car c'est la base de tout, et deuxièmement, pour que le centre se rafraîchisse.
Nous devons être très présents sur les terrains nantais le week-end, nous rapprocher de l'Amicale des éducateurs et avoir une bonne attitude des clubs quand on s'intéresse à un jeune. »
« Moi j'ai juste donné mon avis, par rapport à quinze ans dans un centre de formation, je ne détiens pas la vérité. Je suis en tout cas à fond derrière le centre de formation, j'ai envie qu'il retrouve ses lettres de noblesse, qu'il redevienne un lieu où tout le monde ait envie de venir mais il est important de toujours se tenir en éveil, d'échanger pour continuer à avancer.
Il faut avoir l'ambition de redevenir le numéro un et se donner les moyens humains, structurels et financiers pour y accéder. »
Qui peut ne pas être d'accord avec ça !
Ça fait plaisir de voir que Chauvin a encore quelques notions de la philosophie à la Nantaise...
Faut dire que l'entraineur du FC Nantes n'est pas allé du dos de la cuillère en parlant du centre de formation Nantais.
En même temps, en réfléchissant bien, il n'a pas tord.
Morceaux choisis (mais je vous invite à lire tout l'article)
« Un jour, le président Kita m'a appelé pour connaître mon point de vue sur la formation ..... ma réponse s'est avérée très simple.
Un centre de formation est jugé sur le nombre de joueurs titulaires en équipe première.
À Nantes, ils s'appellent Trebel et Veretout.
Et aujourd'hui, les trois seuls centres performants dans l'hexagone sont Rennes, Sochaux et Toulouse. Point barre.
Le fait que l'on soit second en U 19, c'est bien mais pas suffisant si si peu de joueurs deviennent pros. »
« Déjà, sans de bons joueurs au départ, tu peux travailler des heures, tu as peu de chance d'en sortir.
Aujourd'hui, il faut faire attention au nombre.
Et si le budget est vraiment de 5 M €, le résultat est insuffisant.
Soixante jeunes, c'est beaucoup trop. Ce n'est pas le chiffre qui me dérange mais d'où ils viennent.
Si tu en as trente de la région nantaise, qui soient justes demi-pensionnaires, je trouve cela très bien.
Il ne faut pas recruter pour recruter ou pour que son équipe soit compétitive...
De même, il ne faut pas hésiter à pratiquer le décloisonnement lors des séances d'entraînement et à faire jouer les meilleurs à l'étage supérieur. »
« La sixième ville française doit s'appuyer sur une préformation locale.
Le top serait que ton effectif pro soit composé d'un tiers de jeunes du centre - c'est loin d'être le cas - d'un tiers de jeunes issu du recrutement post-formation et d'un tiers de joueurs qui connaissent la L2. Tu n'y es pas !
Je l'ai dit au président, je suis prêt à avoir deux joueurs en moins dans l'effectif pour que l'on améliore premièrement, l'organisation du recrutement du centre de formation car c'est la base de tout, et deuxièmement, pour que le centre se rafraîchisse.
Nous devons être très présents sur les terrains nantais le week-end, nous rapprocher de l'Amicale des éducateurs et avoir une bonne attitude des clubs quand on s'intéresse à un jeune. »
« Moi j'ai juste donné mon avis, par rapport à quinze ans dans un centre de formation, je ne détiens pas la vérité. Je suis en tout cas à fond derrière le centre de formation, j'ai envie qu'il retrouve ses lettres de noblesse, qu'il redevienne un lieu où tout le monde ait envie de venir mais il est important de toujours se tenir en éveil, d'échanger pour continuer à avancer.
Il faut avoir l'ambition de redevenir le numéro un et se donner les moyens humains, structurels et financiers pour y accéder. »
Qui peut ne pas être d'accord avec ça !
Ça fait plaisir de voir que Chauvin a encore quelques notions de la philosophie à la Nantaise...
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Re: Revue de presse
de victor » 21 Jan 2012, 14:22
Malheureusement , il semble avoir peu d’influence sur Kita...
"Retour aux valeurs
Retour au jeu"
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Re: Revue de presse
de zaka » 25 Jan 2012, 20:58
je trouve que Chauvin arrive a mettre le fc Nantes en avant et as de bonne idée
de quoi peut être donnée envie a des acheteurs potentiels en fin de saison c'est on jamais
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Re: Revue de presse
de FCNAmania » 26 Jan 2012, 00:17
Je pense que la collaboration Kita / Chauvin, il y en a pour un an de plus au moins. Car Chauvin a toujours dit qu'il avait un projet pour le FC Nantes sur 2 ans et Kita va vouloir surement attendre...
TOP 6 de la Ligue 1 et/ou vainqueur de Coupe
José Arribas
Jean Vincent
Jean Claude Suaudeau
Raynald Denoueix
Loïc Amisse
Sergio Conceiçao
Antoine Kombouaré
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Re: Revue de presse
de romain7700 » 26 Jan 2012, 20:44
j'espère que Chauvin restera plus longtemps FC Nantes
regarde les autres entraineurs il sont pas rester assez longtemps pour construire quelques chose
alors si Chauvin veux réussir il lui faut du temps et un centre de formation a la point
l'avenir du FC Nantes passera par les jeunes
avec quelques joueurs d'expérience
regarde les autres entraineurs il sont pas rester assez longtemps pour construire quelques chose
alors si Chauvin veux réussir il lui faut du temps et un centre de formation a la point
l'avenir du FC Nantes passera par les jeunes
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Re: Revue de presse
de Bettamale44 » 26 Jan 2012, 23:44
Papy Djilobodji, ''au service de l'équipe''
Samedi après-midi, Papy Djilobodji disputera son 60ème match de championnat sous les couleurs nantaises à l'occasion de la venue du Tours FC. L'athlétique défenseur, qui a pris part à 24 rencontres cette saison (sur 25 possibles), a gagné en régularité. Buteur à Metz, passeur décisif face à Guingamp, auteur d'un magnifique coup-franc face à Clermont, décisif face à Angers SCO… Papy Djilobodji n'en finit plus d'étoffer son jeu. A tout juste 23 ans depuis le 1er décembre dernier, le défenseur sénégalais originaire de Kaolack est devenu l'un des éléments clés de l'effectif.
Papy DjilobodjiPapy, tu disputeras face à Tours ton 60ème match de championnat sous les couleurs nantaises. On imagine ta satisfaction...
Papy Djilobodji : "Je suis content d'en être arrivé là. Je n'y pensais pas. C'est bien, surtout avec le FC Nantes. J'espère que ça va continuer pour jouer encore plus de matches, et si possible monter. J'apprends tous les jours, même auprès des plus jeunes. Sur le plan tactique, c'est enrichissant de travailler auprès de grands joueurs comme Sylvain Wiltord, Benoît Cheyrou, Matheus Vivian, Fabrice Pancrate… Tu dois prendre ce qu'ils font de bien et essayer de le reproduire en utilisant tes propres qualités."
As-tu débuté au poste de défenseur central ?
Papy Djilobodji : "En fait, j'ai évolué à tous les postes à mes débuts au Sénégal, mais avec une préférence pour le milieu de terrain. C'est à mon arrivée en France que je me suis repositionné en défense pour profiter de ma grande taille."
Quel souvenir particulier gardes-tu de tes débuts avec le FC Nantes ?
Papy Djilobodji : "Déjà, le mauvais match que j'ai joué face à Brest sous la pluie (ndrl : le 5 février 2010). Il m'a beaucoup marqué. Je débutais. J'arrivais de CFA. On avait perdu 1-4 à la Beaujoire. J'ai glissé deux fois, et il y a eu deux buts ensuite… Nolan Roux, qui est un bon joueur, m'avait fait du mal. Le fait de revenir en images sur cette rencontre m'a fait du bien, et m'a permis d'apprendre."
Ta position de défenseur central ne t'empêche pas de trouver le chemin des filets. Tu as inscrit 3 buts...
Papy Djilobodji : "Oui, c'est positif. Il reste encore beaucoup de matches et je vais essayer de faire mieux. Je monte à chaque fois sur les corners. Ça m'a porté chance à Metz. J'espère en réaliser d'autres sur les prochains matches. Et je vais aussi essayer de remettre des coup-francs..."
Papy DjilobodjiTu as marqué un but de plus de 40 mètres sous les couleurs de Moissy-Cramayel en septembre 2009. Retenteras-tu un jour ce geste ?
Papy Djilobodji : "Je ne sais pas. En tout cas, le coach ne va pas me laisser faire ! Il risque même de me crier dessus !!! (rires) Si le gardien est avancé, et qu'on peut le tenter, alors on sera tous contents de prendre les trois points ainsi..."
Sur quels aspects Landry Chauvin insiste-t-il auprès de toi ?
Papy Djilobodji : "Sur la concentration. Je dois être concentré à 100% sur ce que je sais faire, m'appliquer à la récupération du ballon et assurer ma passe. Il me rappelle d'être au contact de l'attaquant, même si l'action se déroule dans le camp adverse. Une passe donnée de loin peut être décisive."
Papy DjilobodjiComment se déroule ton entente sur le terrain avec Matheus Vivian ?
Papy Djilobodji : "Tout se passe très bien. Il me conseille beaucoup. Il rattrape mes erreurs aussi ! On s'entend bien. Nous sommes avant tout au service de l'équipe. Notre mission est de sécuriser mais ne nous empêche pas de monter jouer ensemble les coups de pied arrêtés offensifs".
Comme face à Guingamp lors du match aller…
Papy Djilobodji : "Oui, j'avais profité d'un ballon d'Adrien Trébel à la suite d'un coup-franc pour centrer du droit sur Matheus Vivian qui a inscrit le quatrième but de la tête…"
Te souviens-tu du match aller face à Tours ?
Papy Djilobodji : "Oui, j'avais également fait une glissade ! Et l'attaquant en a profité… C'est un match qui reste dans les têtes. Nous avions fait un bon match là-bas. J'espère que nous prendrons notre revanche à la Beaujoire face à une bonne équipe. Le championnat est long. Il y a des absents, mais nous devrons être costauds. Le coach va faire les bons choix et on jouera ce match pour le gagner."
Y-a-t-il une pression supplémentaire à la Beaujoire où vous êtes obligés de vous relancer ?
Papy Djilobodji : "Non, il n'y a pas de pression particulière. C'est chez nous ! Nous avons l'appui du public."
Regrettes-tu de ne pas participer à la CAN 2012 sous les couleurs du Sénégal ?
Papy Djilobodji : "Non, je n'ai pas de regret. J'ai encore le temps. Les joueurs sélectionnés jouent à un plus haut niveau et méritent d'y être. Peut-être la prochaine fois…"
Quels sont tes objectifs ?
Papy Djilobodji : "Pour le moment, je suis au FC Nantes. On va essayer de bien terminer la saison et jouer si possible la montée jusqu'au bout. Évidemment, la Ligue 1 m'attire. L’Angleterre aussi… On verra !"
Samedi après-midi, Papy Djilobodji disputera son 60ème match de championnat sous les couleurs nantaises à l'occasion de la venue du Tours FC. L'athlétique défenseur, qui a pris part à 24 rencontres cette saison (sur 25 possibles), a gagné en régularité. Buteur à Metz, passeur décisif face à Guingamp, auteur d'un magnifique coup-franc face à Clermont, décisif face à Angers SCO… Papy Djilobodji n'en finit plus d'étoffer son jeu. A tout juste 23 ans depuis le 1er décembre dernier, le défenseur sénégalais originaire de Kaolack est devenu l'un des éléments clés de l'effectif.
Papy DjilobodjiPapy, tu disputeras face à Tours ton 60ème match de championnat sous les couleurs nantaises. On imagine ta satisfaction...
Papy Djilobodji : "Je suis content d'en être arrivé là. Je n'y pensais pas. C'est bien, surtout avec le FC Nantes. J'espère que ça va continuer pour jouer encore plus de matches, et si possible monter. J'apprends tous les jours, même auprès des plus jeunes. Sur le plan tactique, c'est enrichissant de travailler auprès de grands joueurs comme Sylvain Wiltord, Benoît Cheyrou, Matheus Vivian, Fabrice Pancrate… Tu dois prendre ce qu'ils font de bien et essayer de le reproduire en utilisant tes propres qualités."
As-tu débuté au poste de défenseur central ?
Papy Djilobodji : "En fait, j'ai évolué à tous les postes à mes débuts au Sénégal, mais avec une préférence pour le milieu de terrain. C'est à mon arrivée en France que je me suis repositionné en défense pour profiter de ma grande taille."
Quel souvenir particulier gardes-tu de tes débuts avec le FC Nantes ?
Papy Djilobodji : "Déjà, le mauvais match que j'ai joué face à Brest sous la pluie (ndrl : le 5 février 2010). Il m'a beaucoup marqué. Je débutais. J'arrivais de CFA. On avait perdu 1-4 à la Beaujoire. J'ai glissé deux fois, et il y a eu deux buts ensuite… Nolan Roux, qui est un bon joueur, m'avait fait du mal. Le fait de revenir en images sur cette rencontre m'a fait du bien, et m'a permis d'apprendre."
Ta position de défenseur central ne t'empêche pas de trouver le chemin des filets. Tu as inscrit 3 buts...
Papy Djilobodji : "Oui, c'est positif. Il reste encore beaucoup de matches et je vais essayer de faire mieux. Je monte à chaque fois sur les corners. Ça m'a porté chance à Metz. J'espère en réaliser d'autres sur les prochains matches. Et je vais aussi essayer de remettre des coup-francs..."
Papy DjilobodjiTu as marqué un but de plus de 40 mètres sous les couleurs de Moissy-Cramayel en septembre 2009. Retenteras-tu un jour ce geste ?
Papy Djilobodji : "Je ne sais pas. En tout cas, le coach ne va pas me laisser faire ! Il risque même de me crier dessus !!! (rires) Si le gardien est avancé, et qu'on peut le tenter, alors on sera tous contents de prendre les trois points ainsi..."
Sur quels aspects Landry Chauvin insiste-t-il auprès de toi ?
Papy Djilobodji : "Sur la concentration. Je dois être concentré à 100% sur ce que je sais faire, m'appliquer à la récupération du ballon et assurer ma passe. Il me rappelle d'être au contact de l'attaquant, même si l'action se déroule dans le camp adverse. Une passe donnée de loin peut être décisive."
Papy DjilobodjiComment se déroule ton entente sur le terrain avec Matheus Vivian ?
Papy Djilobodji : "Tout se passe très bien. Il me conseille beaucoup. Il rattrape mes erreurs aussi ! On s'entend bien. Nous sommes avant tout au service de l'équipe. Notre mission est de sécuriser mais ne nous empêche pas de monter jouer ensemble les coups de pied arrêtés offensifs".
Comme face à Guingamp lors du match aller…
Papy Djilobodji : "Oui, j'avais profité d'un ballon d'Adrien Trébel à la suite d'un coup-franc pour centrer du droit sur Matheus Vivian qui a inscrit le quatrième but de la tête…"
Te souviens-tu du match aller face à Tours ?
Papy Djilobodji : "Oui, j'avais également fait une glissade ! Et l'attaquant en a profité… C'est un match qui reste dans les têtes. Nous avions fait un bon match là-bas. J'espère que nous prendrons notre revanche à la Beaujoire face à une bonne équipe. Le championnat est long. Il y a des absents, mais nous devrons être costauds. Le coach va faire les bons choix et on jouera ce match pour le gagner."
Y-a-t-il une pression supplémentaire à la Beaujoire où vous êtes obligés de vous relancer ?
Papy Djilobodji : "Non, il n'y a pas de pression particulière. C'est chez nous ! Nous avons l'appui du public."
Regrettes-tu de ne pas participer à la CAN 2012 sous les couleurs du Sénégal ?
Papy Djilobodji : "Non, je n'ai pas de regret. J'ai encore le temps. Les joueurs sélectionnés jouent à un plus haut niveau et méritent d'y être. Peut-être la prochaine fois…"
Quels sont tes objectifs ?
Papy Djilobodji : "Pour le moment, je suis au FC Nantes. On va essayer de bien terminer la saison et jouer si possible la montée jusqu'au bout. Évidemment, la Ligue 1 m'attire. L’Angleterre aussi… On verra !"
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Re: Revue de presse
de Bettamale44 » 06 Fév 2012, 12:05
Ça m'emmerde
Le Mans - FC Nantes reporté. L'entraîneur nantais s'offusque que la décision de la Ligue n'ait pas été prise plus tôt. Et n'hésite pas à pousser son petit coup de gueule.
Ce report est-il un soulagement étant donné les conditions ?
Pour être clair, ça m'emmerde ! La plus sage décision aurait été de remettre l'intégralité de la journée de championnat, comme l'a fait la Fédération. Quand on voit la cascade des reports, cela aurait été beaucoup plus simple. On veut que le foot soit un spectacle mais les clubs français n'ont pas les installations pour. Dans ce genre de cas, autant tout reporter. Sinon, c'est le jeu de la loterie.
Psychologiquement, cela peut-il perturber le groupe de devoir patienter tout en restant à 8 points du podium ?
Logiquement non. En tout cas, ce n'est pas un paramètre qui me perturbe. Le plus gênant, c'est d'être mis devant le fait accompli alors que nous nous sommes entraînés cet après-midi (hier). La décision aurait pu être prise beaucoup plus tôt. Cela nous aurait permis d'être au repos avant de reprendre une semaine classique d'entraînement avant Châteauroux, samedi, à La Beaujoire. C'est comme ça... Le seul point positif, c'est que l'intégrité des joueurs soit préservée. Mais encore une fois, on aurait pu décider ça plus tôt.
Granddi Ngoyi et Grzegorz Krychowiak devront encore patienter pour purger les suspensions...
C'est très embêtant. Depuis le temps que Granddi ronge son frein (10 matches de suspension après son expulsion à Troyes le 5 novembre) ! Il devait nous rejoindre pour la réception de Châteauroux samedi. Là, il est obligé d'attendre quinze jours pour la venue de Metz. C'est rageant. Il faut maintenant se concentrer sur le prochain match et attendre la date du report qui devrait tomber mercredi.
Ouest-France
Le Mans - FC Nantes reporté. L'entraîneur nantais s'offusque que la décision de la Ligue n'ait pas été prise plus tôt. Et n'hésite pas à pousser son petit coup de gueule.
Ce report est-il un soulagement étant donné les conditions ?
Pour être clair, ça m'emmerde ! La plus sage décision aurait été de remettre l'intégralité de la journée de championnat, comme l'a fait la Fédération. Quand on voit la cascade des reports, cela aurait été beaucoup plus simple. On veut que le foot soit un spectacle mais les clubs français n'ont pas les installations pour. Dans ce genre de cas, autant tout reporter. Sinon, c'est le jeu de la loterie.
Psychologiquement, cela peut-il perturber le groupe de devoir patienter tout en restant à 8 points du podium ?
Logiquement non. En tout cas, ce n'est pas un paramètre qui me perturbe. Le plus gênant, c'est d'être mis devant le fait accompli alors que nous nous sommes entraînés cet après-midi (hier). La décision aurait pu être prise beaucoup plus tôt. Cela nous aurait permis d'être au repos avant de reprendre une semaine classique d'entraînement avant Châteauroux, samedi, à La Beaujoire. C'est comme ça... Le seul point positif, c'est que l'intégrité des joueurs soit préservée. Mais encore une fois, on aurait pu décider ça plus tôt.
Granddi Ngoyi et Grzegorz Krychowiak devront encore patienter pour purger les suspensions...
C'est très embêtant. Depuis le temps que Granddi ronge son frein (10 matches de suspension après son expulsion à Troyes le 5 novembre) ! Il devait nous rejoindre pour la réception de Châteauroux samedi. Là, il est obligé d'attendre quinze jours pour la venue de Metz. C'est rageant. Il faut maintenant se concentrer sur le prochain match et attendre la date du report qui devrait tomber mercredi.
Ouest-France
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Re: Revue de presse
de victor » 06 Fév 2012, 12:46
D'accord avec Chauvin, et c'est pas la première fois que la Ligue fait le coup...
"Retour aux valeurs
Retour au jeu"
Retour au jeu"
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Re: Revue de presse
de Bettamale44 » 07 Fév 2012, 13:02
Benzerga, le canari perdu
Il y a huit jours, le SO Châtellerault affrontait la réserve du FC Nantes dans le légendaire stade Marcel-Saupin. Si un monde sépare les amateurs châtelleraudais des professionnels nantais, il existe pourtant un point commun entre les deux clubs. Un point commun nommé Omar Benzerga.
Châtelleraudais de naissance, ce joueur fait ses classes de footballeur au SOC des poussins jusqu'aux 14 Fédéraux. Son talent précoce attise très vite les convoitises des clubs de Ligue 1. Lille aura finalement les faveurs de l'intéressé. « J'ai signé un contrat de trois ans en tant qu'aspirant avant de me réengager pour deux ans comme professionnel », indique-t-il.
Ses performances sont remarquables et remarquées puisque, dans le même temps, il est sélectionné en équipe de France 16 ans, 17 ans et 18 ans. « J'ai intégré la réserve en CFA avant d'effectuer quelques apparitions lors des matchs amicaux avec l'équipe fanion qui était alors entraînée par Claude Puel. » Puel parti à Lyon, son successeur Rudi Garcia ne lui fait pas confiance et le cantonne en CFA. Le temps est venu pour Omar Benzerga d'aller voir ailleurs. Nous sommes à l'intersaison 2010-2011. Nantes et Lyon se montrent intéressés. « A Lyon, Claude Puel ne m'avait pas oublié. Mais Nantes me proposait un super contrat de quatre ans », précise-t-il. Entre le septuple champion de France lyonnais et des Nantais courant après leur glorieux passé en Ligue 2, Benzerga choisit les bords de Loire. Il est la première recrue du FCN. Le milieu de terrain a la confiance de Baptiste Gentili, l'entraîneur de l'époque, et est aligné face au Mans lors de la première journée de championnat. Le début de la galère en fait. « Je me suis blessé aux ischios », rappelle-t-il. Après une longue convalescence, il ne dispute plus que trois matchs en équipe fanion (Evian et Angers en championnat, Lille en coupe), jouant plus fréquemment avec la réserve en CFA 2.
Mais le pire est encore à venir. La saison 2011-2012 marque l'arrivée de Landry Chauvin comme entraîneur. L'espoir de retrouver la lumière est vite réduit à néant. « Une semaine après la reprise, le coach m'a dit que je ne partais pas en stage avec l'équipe et que je pouvais me trouver un autre club car il ne comptait pas sur moi. Je ne sais pas comment on peut juger un joueur après sept jours », regrette, amer, celui qui va fêter ses 22 ans en mars. Ecarté du groupe pro, Benzerga s'entraîne avec les jeunes réservistes de la CFA 2 et ne joue pas le week-end. « Ma situation est très compliquée. Mais je ne baisse pas les bras. Je m'entraîne sérieusement pour rester en condition physique si je dois faire des tests en juin », explique le joueur, bien décidé à quitter le navire nantais. « C'est la seule solution. Pour le mercato (marché des transferts) hivernal, c'est râpé. Mais des agents travaillent pour me trouver un club. Ma préférence va à l'étranger et plus particulièrement à l'Angleterre », souhaite Omar Benzerga. Le canari perdu veut trouver le bon perchoir.
lanouvellerepublique
Il y a huit jours, le SO Châtellerault affrontait la réserve du FC Nantes dans le légendaire stade Marcel-Saupin. Si un monde sépare les amateurs châtelleraudais des professionnels nantais, il existe pourtant un point commun entre les deux clubs. Un point commun nommé Omar Benzerga.
Châtelleraudais de naissance, ce joueur fait ses classes de footballeur au SOC des poussins jusqu'aux 14 Fédéraux. Son talent précoce attise très vite les convoitises des clubs de Ligue 1. Lille aura finalement les faveurs de l'intéressé. « J'ai signé un contrat de trois ans en tant qu'aspirant avant de me réengager pour deux ans comme professionnel », indique-t-il.
Ses performances sont remarquables et remarquées puisque, dans le même temps, il est sélectionné en équipe de France 16 ans, 17 ans et 18 ans. « J'ai intégré la réserve en CFA avant d'effectuer quelques apparitions lors des matchs amicaux avec l'équipe fanion qui était alors entraînée par Claude Puel. » Puel parti à Lyon, son successeur Rudi Garcia ne lui fait pas confiance et le cantonne en CFA. Le temps est venu pour Omar Benzerga d'aller voir ailleurs. Nous sommes à l'intersaison 2010-2011. Nantes et Lyon se montrent intéressés. « A Lyon, Claude Puel ne m'avait pas oublié. Mais Nantes me proposait un super contrat de quatre ans », précise-t-il. Entre le septuple champion de France lyonnais et des Nantais courant après leur glorieux passé en Ligue 2, Benzerga choisit les bords de Loire. Il est la première recrue du FCN. Le milieu de terrain a la confiance de Baptiste Gentili, l'entraîneur de l'époque, et est aligné face au Mans lors de la première journée de championnat. Le début de la galère en fait. « Je me suis blessé aux ischios », rappelle-t-il. Après une longue convalescence, il ne dispute plus que trois matchs en équipe fanion (Evian et Angers en championnat, Lille en coupe), jouant plus fréquemment avec la réserve en CFA 2.
Mais le pire est encore à venir. La saison 2011-2012 marque l'arrivée de Landry Chauvin comme entraîneur. L'espoir de retrouver la lumière est vite réduit à néant. « Une semaine après la reprise, le coach m'a dit que je ne partais pas en stage avec l'équipe et que je pouvais me trouver un autre club car il ne comptait pas sur moi. Je ne sais pas comment on peut juger un joueur après sept jours », regrette, amer, celui qui va fêter ses 22 ans en mars. Ecarté du groupe pro, Benzerga s'entraîne avec les jeunes réservistes de la CFA 2 et ne joue pas le week-end. « Ma situation est très compliquée. Mais je ne baisse pas les bras. Je m'entraîne sérieusement pour rester en condition physique si je dois faire des tests en juin », explique le joueur, bien décidé à quitter le navire nantais. « C'est la seule solution. Pour le mercato (marché des transferts) hivernal, c'est râpé. Mais des agents travaillent pour me trouver un club. Ma préférence va à l'étranger et plus particulièrement à l'Angleterre », souhaite Omar Benzerga. Le canari perdu veut trouver le bon perchoir.
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Re: Revue de presse
de Bettamale44 » 07 Fév 2012, 13:07
football Franck Kita revient sur les dossiers chauds du mercato et quelques offres farfelues
Le marché hivernal a laissé des traces. Le mobile de Franck Kita, le fils du président du FC Nantes, ne cesse de couper... « Il a été usé par le mercato », souffle, en rigolant, le directeur général délégué. Un mois durant, entre les agents, les joueurs, les directeurs sportifs d'autres clubs ou encore les journalistes, le fils et le père Kita ont été pendus au téléphone. Franck Kita a accepté de nous raconter quelques moments de ce mercato durant lequel le FC Nantes n'est pas resté inactif.
Dalé, le dossier interminable. « C'est le dossier le plus compliqué du mercato », estime Franck Kita. Junior-Maurice Dalé, à qui il reste un an et demi de contrat au FCN, a été prêté à Arles-Avignon après des semaines de négociations escortées par des volte-face de la part du joueur. « Un jour, il voulait y aller, un jour, il ne voulait plus ! On n'arrivait plus à comprendre pourquoi il ne voulait plus y aller. » Tandis que le FC Nantes et Arles-Avignon semblent d'accord, l'attaquant traîne les pieds pour des problèmes de prise en charge de déménagement par exemple. Il faut ajouter à cela « la demie-douzaine d'agents » qui tourne autour du joueur et cela donne un dossier dur à boucler.
Une opération « délestage » compliqué. « Le plus dur c'est de placer ceux qui ne jouent pas ! » Tixier, Ba, Benzerga... Selon Franck Kita, les deux premiers n'ont reçu quasiment aucune offre. Le dernier, en revanche, avait la possibilité de rejoindre l'Algérie. « Comme il joue avec un drapeau de l'Algérie sur les chaussures, je me suis dit qu'il fallait lui trouver un club là-bas. On lui a proposé deux équipes de haut niveau... Il n'a pas voulu y aller. Et pourtant, il ne perdait pas d'argent ! »
Des offres de joueurs incessantes. « C'est tout le temps qu'on te propose des joueurs, raconte Franck Kita. Et on t'appelle toujours pour des “champions du monde”... Un milieu droit qui déborde comme Ribéry, un défenseur dans le style d'Abidal, certains sont même comparés à Messi. La plupart, tu ne les connais pourtant pas. Il y a tellement de mecs au chômage. » En cas de d'offres sérieuses, les Kita informent Landry Chauvin. « On servait un peu de filtres », conclut Franck.
20minutes
Le marché hivernal a laissé des traces. Le mobile de Franck Kita, le fils du président du FC Nantes, ne cesse de couper... « Il a été usé par le mercato », souffle, en rigolant, le directeur général délégué. Un mois durant, entre les agents, les joueurs, les directeurs sportifs d'autres clubs ou encore les journalistes, le fils et le père Kita ont été pendus au téléphone. Franck Kita a accepté de nous raconter quelques moments de ce mercato durant lequel le FC Nantes n'est pas resté inactif.
Dalé, le dossier interminable. « C'est le dossier le plus compliqué du mercato », estime Franck Kita. Junior-Maurice Dalé, à qui il reste un an et demi de contrat au FCN, a été prêté à Arles-Avignon après des semaines de négociations escortées par des volte-face de la part du joueur. « Un jour, il voulait y aller, un jour, il ne voulait plus ! On n'arrivait plus à comprendre pourquoi il ne voulait plus y aller. » Tandis que le FC Nantes et Arles-Avignon semblent d'accord, l'attaquant traîne les pieds pour des problèmes de prise en charge de déménagement par exemple. Il faut ajouter à cela « la demie-douzaine d'agents » qui tourne autour du joueur et cela donne un dossier dur à boucler.
Une opération « délestage » compliqué. « Le plus dur c'est de placer ceux qui ne jouent pas ! » Tixier, Ba, Benzerga... Selon Franck Kita, les deux premiers n'ont reçu quasiment aucune offre. Le dernier, en revanche, avait la possibilité de rejoindre l'Algérie. « Comme il joue avec un drapeau de l'Algérie sur les chaussures, je me suis dit qu'il fallait lui trouver un club là-bas. On lui a proposé deux équipes de haut niveau... Il n'a pas voulu y aller. Et pourtant, il ne perdait pas d'argent ! »
Des offres de joueurs incessantes. « C'est tout le temps qu'on te propose des joueurs, raconte Franck Kita. Et on t'appelle toujours pour des “champions du monde”... Un milieu droit qui déborde comme Ribéry, un défenseur dans le style d'Abidal, certains sont même comparés à Messi. La plupart, tu ne les connais pourtant pas. Il y a tellement de mecs au chômage. » En cas de d'offres sérieuses, les Kita informent Landry Chauvin. « On servait un peu de filtres », conclut Franck.
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